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dimanche 15 avril 2018

Interdit de harceler, Jean-Marc Donnadieu veut se battre !


Donnadieu veut se battre


Il vient de l’afficher sur sa page Facebook il y a tout juste une heure, ici :

https://www.facebook.com/jeanmarc.donnadieu


Cela me rappelle bien évidemment le tout début de ses harcèlements à mon encontre sous son identité réelle ou celle de NEMROD34, un pseudonyme auquel il a toujours, de lui-même, publiquement associé son identité et toutes ses coordonnées, comme ici sur un de ses anciens sites, actif lors de ses premières attaques contre mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, au printemps 2010 :


2013-08-12_012131


Ou bien encore sur sa page Facebook elle-même :


Donnadieu Facebook


Mais celle-ci n’existait pas encore en 2010, puisqu’elle n’a été créée qu’en date du 11 novembre 2014 :


Ouverture Facebook Donnadieu


En revanche, cet ancien site de Jean-Marc Donnadieu, alors domicilié au 46, rue Denis Diderot, à Béziers, existait bien :


2013-08-12_012131


On précise au passage qu’il avait déménagé au mois d’août 2010 pour aller habiter au 4, place de la Renardière, à Béziers, adresse qui figure autant sur les décisions de justice qu’il a affichées sur la toile à compter du mois de décembre 2011 que sur ce Curriculum Vitae qu’il a mis en ligne au plus tôt au mois d’avril 2013 :

http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_53fc91103ec7c.pdf

Il avait alors quitté un petit appartement décrit comme un quasi taudis où il vivait depuis de nombreuses années sans même l’électricité, ce dont il se plaignait sur Le Post, expliquant qu’il allait faire un procès à EDF, pour un grand et bel appartement d’un loyer de 580 euros par mois dans une résidence de bon standing.

Très fier de son nouveau logement, il avait posté sur mon blog plusieurs photographies de la vue qu’il en avait depuis les différentes ouvertures, et même des photographies de sa chambre à coucher, comme celles-ci, avec les légendes appropriées :

- vues du salon et de sa chambre :

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- vues de la chambre de son fils et de la loggia derrière la cuisine :

spa0504

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- vue de sa chambre à coucher, à l’intérieur :

chambregeisha


Voilà le plan de l’appartement, un trois pièces de 89,58 m2, et la description qu’en donnait l’agence de location :

pl2243677

DANS QUARTIER RECHERCHE, RESIDENCE CALME ET AGREABLE, BEL APPARTEMENT SPACIEUX LUMINEUX, PARKING-GRAND BALCON VUE IMPRENABLE. Entrée, séjour-salon, 2 chambres, 1 salle de bains, 1wc, rangements, loggia.

Adresse du bien :
RESIDENCE CURMONT PLACE DE LA RENARDIERE, 34500 BEZIERS 


Il s’agit d’un ensemble d’immeubles de 4 étages avec parking privé, donc, et espaces verts.

Le n°4 est celui du milieu dans la barre ci-dessous :


Rue de la Renardière

Résidence Curmont

Place de la Renardière

Rue des Vendanges


Toutes ces indications et photographies laissent à penser que ce nouvel appartement était en effet bien plus attrayant que le précédent, manifestement vétuste, dans cette maison ancienne d’un étage qui lors du passage de la voiture Google au mois de juin 2014 était en vente :


46 rue Denis Diderot


Depuis, il a encore déménagé après s’être acheté une maison dans un village se trouvant à une dizaine de kilomètres de Béziers, il en parlait dans ses tout derniers commentaires sur le site de ses ex-amis les Sataniques Sceptiques du Québec, au mois d’avril 2016 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2016/05/06/nemrod34-sest-achete-une-maison-pres-de-beziers/

Mais il envisageait déjà un autre déménagement pour un plus grand appartement que celui de la résidence Curmont, au 4, place de la Renardière à Béziers, au mois de décembre 2012 :


J'envisage de déménager


Cet individu qui aura passé le plus clair de son temps au RMI ou au RSA depuis qu’au mois de juin 2004 il a quitté son emploi d’agent hospitalier à l’hôpital de Béziers dans des conditions qui n’en font sûrement pas un héros – il en bénéficiait depuis octobre 1988, avec une interruption de trois ans et demi à compter de février 1989 pour son service militaire sur la base aérienne 701 de Salon de Provence, suivi de deux emplois d’aide-soignant, dans un EHPAD et une association de services à domicile – a donc vu sa situation matérielle s’améliorer régulièrement depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, au printemps 2010.

Venu m’injurier et notamment me traiter de folle sur mon propre blog au mois d’avril 2010 sans qu’auparavant je ne l’aie jamais vu ni croisé nulle part, je n’avais pas tardé à l’en bannir, étant donné qu’il n’entendait absolument pas les réponses très courtoises que je lui faisais et continuait à m’injurier sans raison, de manière gratuite.

Or, vite interdit de poursuivre ses harcèlements à mon encontre dans les commentaires de mon blog, il était revenu à la charge en demandant à mon hébergeur la suppression de mon blog au motif que d’après lui je n’aurais été qu’une folle n’y faisant que de la diffamation. Je ne lui avais pas encore consacré un seul article de mon blog, je l’en avais simplement banni pour qu’il me fiche la paix.

Il précisait alors passer son temps à faire supprimer tous les commentaires qu’il pensait être les miens sur Le Post et sur d’autres sites et m’avait envoyé une copie de sa demande à OverBlog, qu’il menaçait déjà de procès pour le cas où j’aurais publié quoi que ce soit à son sujet, ce que je m’étais empressée de faire le même jour avec cet article (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :


2010-05-26 De quoi se mêle Jean-Marc Donnadieu  - Un petit coucou


En effet, j’avais prévenu mes lecteurs que je publierais toutes les menaces que j’en recevrais.

Voilà pourquoi, en définitive, au mois de juin 2010 NEMROD34 n’était déjà plus banni de mon blog : comme désormais il y revenait tous les jours pour poster de nombreux commentaires d’injures et de menaces, j’avais décidé d’en accepter le plus grand nombre possible afin que le public puisse apprécier les harcèlements que je subissais de sa part.

Dès les trois premiers mois, juin, juillet et août 2010, j’eus droit à tout : menaces de viol, menaces de mort, avec toutes sortes d’armes à feu, de toutes tailles et tous calibres, incitation au suicide, promesses de procès et d’internement psychiatrique « à vie ».

Dans le même temps, il participait aussi au blog Tique Toc de son complice le malade mental au clavier – son « arme » – exclusivement dédié à mon lynchage public depuis sa création le 12 juin 2010 – un lieu où bien évidemment je n’avais aucun droit de réponse.

Et par la suite, j’ai bien retrouvé sur le forum de discussion de ses ex-amis les Sataniques Sceptiques du Québec, qui est l’un des nombreux sites où il avait pris l’habitude de m’injurier et me diffamer, des commentaires comme celui-ci, où il se vantait lui-même de violences commises sur diverses personnes :


2013-10-20_000316


Tandis que son appartement du 4, place de la Renardière à Béziers se trouvait donc au troisième étage, celui de la rue Diderot était au rez-de-chaussée, derrières les barreaux… une situation peut-être propice au développement d’une certaine empathie à l’égard des détenus, et susceptible d’expliquer son engagement dans une association venant en aide aux délinquants et criminels à leur sortie de prison.

Quoi qu’il en soit, cet individu ultra violent réagit bien toujours plus ou moins de la même manière dès qu’il se trouve banni d’un site ou d’un forum de discussion où ses harcèlements habituels ne sont plus acceptés.

2 commentaires:

  1. Donnadieu jean-marc17 avril 2018 à 08:55

    Bonjour madame.
    Je vous pris de retirer cet article qui porte atteinte à ma vie privé, est diffamatoire et illégal.
    Merci.

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    Réponses
    1. Je fais de l'information avec des éléments que vous avez tous publiés vous-même, M. Donnadieu.
      Cet article ne porte donc pas atteinte à votre vie privée, pas plus qu'il n'est diffamatoire ou illégal.

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