Aujourd'hui, les femmes ont accès aux mêmes écoles et emplois d'ingénieurs que les hommes. Ce sont des droits qu'elles ont acquis de manière très progressive des années 1920 jusqu'aux années 1970. En parallèle, on a vu apparaître un nouveau genre de "prostituée", c'est la "sale pute de femme ingénieure qui vole la place des hommes dans le travail".
En conséquence de quoi, de nouvelles "chasses à la femme" ont aussi été ouvertes, mettant à peu près tout le monde d'accord, sauf les intéressées.
Interrogez Olivier Cuzon, Arnaud Hell, Josette Brenterch, etc... ils vous répondront tous en choeur que oui, effectivement, les femmes ingénieurs sont des prostituées. Pour commencer, elles n'ont pas l'intelligence pour être ingénieures, tout le monde le sait. Donc, nécessairement, elles couchent pour obtenir des avis contraires, et ce sont donc bien des prostituées, dont la présence dans les entreprises est un véritable scandale, d'où les chasses auxquelles ils se livrent tous, qu'ils se disent de gauche, de droite, du centre ou d'ailleurs.
Dans l'hypothèse où Olivier Cuzon connaîtrait des policiers ou des gendarmes qui tout comme ses très proches amis de l'extrême-gauche brestoise Arnaud Hell et Josette Brenterch soutiendraient que je suis une prostituée parce qu'ils n'ont jamais pu supporter qu'en réalité je sois ingénieure (j'ai bien été confrontée directement à ce type de policiers à Paris dans les années 1990), il ne peut pas les dénoncer comme misogynes, ce sont ses complices.
Ses dénonciations de gendarmes et policiers misogynes, nazis ou autres ne sont que postures : en affirmant tous ces gens misogynes ou autres de manière gratuite, sans en avoir réellement jamais dénoncé aucun pour de tels faits, il s'affirme lui-même non misogyne, non nazi, etc... ce qui est totalement faux.
A l'extrême-gauche, tout est factice, faux, mensonger, trompeur.
Je vous rassure tout de suite, ce n'est toujours pas moi.
Cette fois-ci, c'est la FSU 29, et demain, nous aurons sans doute le comité Théodule et la kermesse de son quartier.
Sur la photo du Télégramme, on reconnaît Olivier Cuzon à droite, portant une doudoune jaune, et à gauche, vêtu d'un anorak bleu turquoise, c'est Arnaud Hell, assassin de toute ma famille - Joël Roma, qui a fait partie de leurs larbins de 1999 à 2005, m'a toujours dit que c'était bien celui-là le pire lorsqu'en 2006 il a commencé à me parler de toutes leurs réunions internes à mon sujet, pour briefer tous les militants sur mon compte (prostituée, débile mentale, folle à lier, etc...) et leur indiquer comment se comporter avec moi (très clairement, comment me harceler), à compter de début 2004 lorsque j'avais commencé à participer aux activités de l'association AC ! Brest, où j'en rencontrais quelques-uns.
Arnaud Hell est prof d'économie à la retraite, tout comme Josette Brenterch, et Olivier Cuzon est prof de physique et chimie.
Le premier est aussi connu pour s'être fait virer du lycée de l'Harteloire dans les débuts de sa carrière en raison d'une affaire de moeurs et certains m'ont rapporté avoir eu la honte de leur vie en sortant avec lui en 2005 en raison de son comportement avec les femmes et les jeunes filles dans la rue, comme quoi il ne s'était pas encore calmé...
La seconde est une alcoolique notoire.
Enfin, chose intéressante, avec ce communiqué de la FSU 29, on en arrive aux attentats de janvier 2015 dont ils furent les organisateurs avec le malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi :
Pour la FSU, « il y a dans cette plainte une
atteinte intolérable à la liberté d’expression d’un journal syndical,
qui par principe a une expression engagée. Après les attentats de 2015,
le pays était réuni pour défendre la liberté de la presse sous la
bannière "Nous sommes tous Charlie". Manifestement, cet attachement à
une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».
Ces attentats avaient pour but de préparer ma condamnation en appel à Rennes dans le cadre de la procédure abusive que m'avait intentée la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à compter du mois d'août 2011. Mon co-accusé et co-condamné de première instance, OverBlog, se défendait publiquement en arguant sur la liberté d'expression, tandis qu'en réponse, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi publiait des articles rageux intitulés "Je hais la liberté d'expression" ou "La liberté d'expression c'est la haine", et subitement, à compter de mai 2014, disparaissait de la toile pour n'y revenir qu'en décembre 2014, ses attentats de janvier 2015 étant fin prêts. Comme tout le monde l'avait tout de suite très bien compris, leur thème était la liberté d'expression, qu'ils entendaient voir restreindre, mais ils avaient obtenu au contraire des manifestations en faveur de la liberté d'expression. On sent bien poindre l'aigreur à ce sujet dans le communiqué de la FSU 29 soutenant aujourd'hui Olivier Cuzon : « Manifestement, cet attachement à
une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».
Nouveau soutien au syndicaliste brestois Olivier Cuzon après la plainte de Darmanin
Dans un communiqué, la FSU 29 « exprime son
soutien indéfectible à Olivier Cuzon et à Solidaires 29 » après la
plainte pour diffamation visant le directeur de publication du journal
de Sud Éducation.
Nouveau témoignage de soutien à l’adresse d’Olivier Cuzon,
visé par une plainte pour « diffamation et injure publiques à
l’encontre de la police et de la gendarmerie » de la part du ministre de
l’Intérieur, Gérald Darmanin. Entendu par la police pour un de ses
écrits dans la lettre interne de Sud Éducation, le secrétaire de
Solidaires 29 a été convoqué le vendredi 19 avril 2024 au commissariat
de Brest.
Un
comité de soutien, réunissant des militants syndicaux (FSU,
Sud/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’homme ou
de LFI, était à la sortie de l’audition.
Pour la FSU, « il y a dans cette plainte une
atteinte intolérable à la liberté d’expression d’un journal syndical,
qui par principe a une expression engagée. Après les attentats de 2015,
le pays était réuni pour défendre la liberté de la presse sous la
bannière "Nous sommes tous Charlie". Manifestement, cet attachement à
une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».
Il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression
Au-delà, poursuit le syndicat, « cette plainte
s’inscrit dans un contexte plus global de tentatives de censure contre
des militants qui s’expriment librement pour faire connaître leurs
analyses politiques et leurs mandats. Aussi, la FSU 29 exprime son
soutien indéfectible à Olivier Cuzon et à Solidaires 29 ».
C'est le meilleur des soi-disant "démocrates" de la région...
Il n'y a là que des fonctionnaires qui tous rêvent depuis des lustres pour leur pays et tous les autres d'un "tout-Etat" à la mode soviétique qu'ils ont quasiment réalisé à Brest.
Et l'on sait depuis très longtemps ce qu'ils font de la liberté d'expression :
Strictement aucun droit pour leurs victimes, donc.
En revanche, pour eux, la liberté d'expression, de harcèlement, de calomnie publique, de menaces de mort et autres, de viols et d'assassinat, est sans aucune limite.
Une vague de soutien après la plainte à l’encontre du syndicaliste brestois Olivier Cuzon
Vendredi 19 avril 2024,
Olivier Cuzon, enseignant et syndicaliste brestois, était convoqué au
commissariat de Brest (Finistère) pour une plainte déposée à son
encontre. Un article paru sur le site Sud éducation 29, dont il est le
directeur de la publication, serait l’objet de la procédure en cours. Ce
week-end, les messages de soutien n’ont pas cessé, notamment des
politiques et des associations finistériennes.
« L’opportunité de cette démarche de la part de Gérald Darmanin interroge »,
peut-on lire dans un communiqué de presse du Parti socialiste du
Finistère. Des messages de soutien, comme celui-ci, sont arrivés par
vague ce week-end après la convocation d’Olivier Cuzon, syndicaliste et
enseignant à Brest, au commissariat de la cité du Ponant, vendredi 19 avril 2024.
La procédure émanerait du ministre de l’intérieur lui-même, Gérald Darmanin. « Combien
de temps allons-nous encore devoir supporter ces mesures liberticides
qui mettent à mal notre démocratie, menacée partout ailleurs dans le
monde ? », s’insurge, de son côté, l’Union démocratique bretonne (UDB) du Pays de Brest.
« Cela devrait révolter tout démocrate »
Des politiques et associations finistériennes s’inquiètent du contexte actuel, qui ne serait pas favorable aux militants. « Les
différentes pressions, annulations, menaces à la liberté d’expression
politique, syndicale, associative se multiplient dans notre pays et cela
devrait révolter tout démocrate », analyse les Écologistes de Brest.
Ils s’insurgent également des menaces qui planent sur la liberté de la presse.
« C’est la liberté de la presse qui est aussi en ligne de mire, Olivier
Cuzon étant mis en cause en tant que directeur de la publication
syndicale », avance la section du Parti communiste français (PCF) du pays de Brest.
Faut-il supprimer l’aide médicale d’État (AME), qui permet
aux étrangers en situation irrégulière d’être soignés en France ?
Le procureur de la République de Brest devra trancher entre classer, ou non, cette plainte.
Les partis politiques et associations qui ont apporté leur
soutien : la fédération du Finistère du Parti Socialiste, la section
UDB-Pays de Brest, la section de Brest métropole de la Ligue des droits
de l’homme, les Écologistes de Brest, LFI - Nupes Brest, L’Autre gauche
Brest nouvelle citoyenneté (BNC), la section du pays de Brest du PCF, la
FSU 29.
Cependant, la section brestoise de la LDH n'a plus depuis bien longtemps de Ligue des Droits de l'Homme que le nom...
C'est pourquoi Olivier Cuzon, qui par le passé y était violemment opposé comme tous ses camarades de la gauche "radicale", en fait lui-même partie depuis maintenant plusieurs années : ce n'est tout simplement plus la LDH, c'est autre chose.
Son représentant actuel, Pierre Bodenez, est chef de service psychiatrique à l'hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest, ce même hôpital qui n'a jamais respecté aucun droit humain ni aucune des lois accordant spécifiquement des droits aux personnes qui y sont "hospitalisées", s'était fait épingler à ce sujet en 2021 par le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, et au lieu de tenir compte de ses critiques, avait au contraire justifié tous les moyens inhumains employés par son personnel et signifié au public qu'ils seraient maintenus...
Voir également à propos de son supérieur hiérarchique Michel Walter, chef du pôle psychiatrie du CHU de Brest, et dont la complicité avec le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour toutes ses exactions à mon encontre est bien établie :
Un ancien directeur de cet hôpital dans les années 1990, Christian Barthes, avait fini par en être expulsé au printemps 2002 après avoir déjà été révoqué de la fonction publique en 1999, puis poursuivi pour de multiples infractions pénales ayant toutes conduit à des condamnations confirmées en appel pour des faits de proxénétisme aggravé, faux et usage de faux, violences diverses, avec armes pour certaines, dénonciations calomnieuses et faux témoignages, usurpations de titres, outrage à agent de police dans l'exercice de ses fonctions, etc...
S'il fut le seul à être poursuivi et condamné, il n'était pour autant pas le seul coupable de tous ces faits, notamment ceux de proxénétisme aggravé, la direction du CHU de Brest étant également impliquée par fourniture ou mise à disposition de moyens, et ceux de détournement et harcèlement de mineures d'un foyer de l'enfance du Finistère pour lesquels il n'a jamais été poursuivi en dépit de la plainte déposée contre lui par le responsable de ce foyer se plaignant aussi qu'il l'avait menacé de lui faire perdre son emploi en cas de plainte de sa part à propos des détournements de mineures sous sa responsabilité : la preuve en est l'utilisation de cette plainte dans le cadre de seules poursuites pour usurpation de titre du fait qu'il n'était plus directeur hospitalier lors de son dépôt et se prévalait toujours de cette qualité dans le cadre de ses interventions au foyer de l'enfance concerné et auprès de ses mineures pour en faire des prostituées qu'il fournissait en drogues récupérées sur les saisies de la police, sans compter qu'il se prévalait aussi pour ces activités de l'appui du Conseil Général du Finistère...
Son successeur Etienne Morel fut notamment, quant à lui, très impliqué dans l'affaire du chirurgien pédophile Joël Le Scouarnec.
Encore très récemment, ils ont travaillé à verrouiller complètement leur système de fabrication de prostituées :
Nous avions là et nous avons toujours, très clairement, une bande de criminels, de violeurs, d'assassins. Peu m'importe qu'Olivier Cuzon, Pierre Bodenez ou d'autres n'aient jamais violé ni tué personne, ils sont bien tous complices de tous les crimes commis en bande organisée ou en association de malfaiteurs par certains des leurs. C'est un système mafieux, ils sont tous dedans à se serrer les coudes mutuellement.
Gérald Darmanin porte plainte contre un syndicaliste pour «diffamation»
Par Le Figaro avec AFP
Publié , Mis à jour
Olivier Cuzon, directeur de publication du
journal du syndicat Sud-Éducation dans le Finistère, a été mis en cause
pour un article publié en octobre qui s'interrogeait sur la pertinence
des «classes défense, sécurité globale».
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a
porté plainte contre un syndicaliste breton qui a été entendu vendredi
en audition libre pour «diffamation et injure publiques envers la gendarmerie nationale et la police nationale»,
a-t-on appris dimanche auprès du militant. Une source proche du dossier
a confirmé à l'AFP ce dépôt de plainte pour diffamation émanant du
ministre de l'Intérieur.
Le militant, Olivier Cuzon, a été mis en cause
en sa qualité de directeur de publication du journal du syndicat
Sud-Éducation dans le Finistère, tiré à un millier d'exemplaires et
dupliqué sur le site internet de l'organisation, a-t-il expliqué à
l'AFP. «J'ai été entendu vendredi au commissariat de Brest par la
brigade criminelle (...) Une plainte déposée au nom du ministre de
l'Intérieur en personne, je ne m'y attendais pas, il y a une volonté
d'intimidation», a déclaré ce professeur de physique-chimie dans un lycée de Brest.
Non signé car «rédigé collectivement», l'article contesté, publié en octobre, s'interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale», décidées par le gouvernement après les attentats de 2015. Il en évaluait le nombre à 500, «concernant 12.500 élèves». L'article relevait la nature de certains «ateliers» menés dans ce cadre, tels que «fouille de cellule pénitentiaire, tir au pistolet laser».
Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis
Extrait de l’article contesté
Il se demandait s'il ne fallait pas voir dans ces classes «une forme d'endoctrinement, un patriotisme désuet et résolument réactionnaire?», poursuivant : «Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis». Il mentionnait différentes affaires évoquées dans la presse sur «l'existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes».
Cette plainte de Gérald Darmanin a suscité des
réactions de soutien à Olivier Cuzon dans le Finistère de la part de
personnalités politiques, de syndicats et d'associations. Dans un
communiqué, la section locale de la Ligue des droits de l'homme (LDH) «s'inquiète
de l'atteinte au droit à l'expression critique de mesures
gouvernementales et du comportement de certains membres des forces de
l'ordre» et «s'indigne de cette atteinte aux droits fondamentaux d'une presse libre et indépendante».
Selon le ministère des Armées, ces «classes défense» ont «un
triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir
l'esprit de défense et garantir l'attractivité des métiers des armées».
Après l'audition du syndicaliste, il appartiendra au procureur de
classer sans suite ou de poursuivre, a rappelé Olivier Cuzon.
Il n'est sorti du commissariat que depuis deux jours à peine, et c'est déjà le délire...
La presse nationale aussi s'y est mise...
Pour commencer, il s'étonne que sa feuille de chou à diffusion restreinte, Sud éducation 29, quand même tirée à un millier d’exemplaires et
dupliquée sur le site internet de l’organisation (cf. ci-dessous article de Libération), ait pu faire l'objet d'une plainte du ministre de l'Intérieur.
Et alors ? Vous m'avez bien harcelée de dénonciations calomnieuses et procédures abusives à répétition pour un blog qui au mieux de sa forme n'attirait en moyenne pas plus d'une centaine de lecteurs par jour, dont la presque totalité me venait des blogs où vous me calomniez quotidiennement avec tous les jours de nouvelles inventions toutes plus incroyables les unes que les autres, sans compter les menaces de viol, les menaces de mort, les appels au meurtre et au viol, notamment sur des sites islamistes, avec la révélation publique de mon identité et de toutes mes coordonnées, et la publication très régulière de contenus de mes conversations téléphoniques et autres toutes illégalement écoutées ou piratées, et quantité d'autres informations, vraies ou fausses, relevant toutes à l'évidence de l'intimité de ma vie privée - blog "Un petit coucou" chez OverBlog où je me contentais de publier des droits de réponse afin de rétablir a minima la vérité concernant ma propre biographie, à la suite de vos campagnes de calomnies publiques et nominatives massives, véritablement phénoménales.
Ensuite, Olivier Cuzon arguë sur le texte qui lui est reproché comme injurieux et diffamatoire à l'égard des forces de l'ordre :
"La plainte voudrait laisser penser qu’on s’attaque à l’institution, s'agace-t-il. Ce
n’est pas le cas de l’article qui cible un certain nombre de dérives
individuelles, racistes, sexistes ou homophobes. C’est un travail qui a
été documenté par des journalistes, des sociologues et on ne fait que rapporter quelque chose qui existe."
"Je trouve particulièrement dommage que le ministre, au lieu
d’essayer de faire le ménage et de faire la chasse à ces groupuscules
qui entachent l’image de la Police, s’attaque à des syndicalistes qui
dénoncent des faits qui sont avérés et connus."
MDR !!!
Le problème, connard, c'est que ta feuille de chou n'est destinée qu'à tes collègues du 29. Cela signifie que tu n'as aucune défense sérieuse si tu n'es pas capable de donner des exemples précis illustrant tes propos concernant des dérives individuelles ou de groupe racistes, sexistes, homophobes ou autres dans le 29.
Si par contre tu connais effectivement des individus ou des groupuscules qui entachent l'image de la Police ou celle de la Gendarmerie dans le 29, il va falloir que tu les balances, mais il t'appartenait de les avoir déjà dénoncés pour que les autorités aient pu faire le ménage. Pourquoi ne l'as-tu jamais fait ?
Ce 19 avril 2024, Olivier Cuzon était
convoqué pour une audition au commissariat de Police de Brest. Le
syndicaliste brestois y a appris qu’une plainte avait été déposée contre
lui pour diffamation et injure publique envers la Police et la
Gendarmerie et que cette plainte émanait du ministre de l’Intérieur en
personne, Gérald Darmanin. En cause, un article dans le journal de Sud
éducation du Finistère.
"Le journal de Sud éducation Finistère, c’est un tout petit
journal qui est envoyé dans les salles des professeurs des écoles,
collèges, lycées du département, ironise Olivier Cuzon. C’est
une feuille de chou sans prétention. C’est quand même très étonnant
qu’un ministre de l’Intérieur prenne la peine de déposer une plainte
contre le directeur de rédaction que je suis pour un journal qui a une
audience très modeste et limitée, c’est beaucoup d’honneurs qu’il nous
fait."
Des classes défense qui interrogent l’enseignant
Dans cette "feuille de chou", en octobre 2023, l’enseignant brestois
s’étonnait de l’apparition des Classes défense sécurité globale. "Après les attentats de 2015, explique l’article, un protocole a été signé entre le Ministère de l’Education nationale et celui de la défense".
Des militaires sont donc appelés à venir dans les salles de classe pour
enseigner aux élèves les principes et valeurs de la République.
Le professeur persiste et signe : "C’est un article qui
questionne la légitimité des policiers et des gendarmes à intervenir
devant nos élèves. Je considère qu’en tant qu’enseignant cela fait
partie de nos missions".
Et il s’étonne, "l’éducation civique, ce n’est pas forcément à
des gens en uniforme de s’en occuper et de faire quelque chose qui
pourrait être assimilé à une forme d’endoctrinement ou de
militarisation. C’est avant tout aux enseignants de travailler avec les
élèves sur ces questions qui sont importantes."
Une forme de militarisation de la jeunesse ?
Olivier Cuzon fait le lien avec le Service national universel que le
ministère souhaite étendre à l’ensemble d’une classe d’âge. Il y voit
une volonté d’une forme de militarisation de la jeunesse. "Ces 15
jours où les élèves font le lever du drapeau, apprennent à tirer,
pourraient être pris sur du temps scolaire. Nous, on pense que ces 15
jours à l’école sont au moins aussi importants que 15 jours pour aller
faire un petit service militaire dans les casernes."
Il rappelle que dans tous les cours, les enseignants abordent les
notions d’instruction civique, d’éducation à la citoyenneté, de valeurs
de la République. "On n’a pas besoin de policiers ou de militaires
dans les écoles pour ça. On remet en cause leur légitimité, ils ne sont
pas formés pour cela. Ils sont formés pour d’autres missions, qui sont
toutes aussi importantes, mais pas pour des missions d’éducation auprès
des élèves."
Entendu pendant une heure par les policiers
Une remise en cause qui n’aurait donc pas été du tout au goût du
ministre de l’Intérieur, mais c’est surtout le paragraphe sur des
dérives des membres des forces de l’ordre qui l’aurait fait sortir de
ses gonds. Il y est écrit : " Ce questionnement est important quand
on connaît la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop
nombreux képis. Les enquêtes de Médiapart révélant l’existence de
groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions
racistes des policiers et gendarmes, ou la participation récente de
militaires en civil à la répression des dernières émeutes de banlieues
ne plaident pas en faveur du républicanisme des militaires."
Sollicité, le cabinet du ministre explique que "l' auteur de cet
article accuse des militaires de la gendarmerie nationale d'appartenir à
des "groupuscules nazis", de participer, ainsi que des policiers, à des
"groupes de discussions racistes " et leur attribue une
culture"misogyne" et "homophobe". De telles allégations ou imputations
sont de nature à porter atteinte à l'honneur ou à la considération de
l'ensemble des militaires de la gendarmerie nationale et des
fonctionnaires de la police nationale", et justifie la plainte, "ces
propos rendus publics caractérisent le délit de diffamation publique à
l'encontre des administrations publiques de la gendarmerie nationale et
de la police nationale, délit prévu et réprimé par le premier alinéa de
l'article 29 et l'article 30 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la
liberté de la presse."
Olivier Cuzon a été entendu pendant plus d’une heure par les policiers. "La plainte voudrait laisser penser qu’on s’attaque à l’institution, s'agace-t-il. Ce
n’est pas le cas de l’article qui cible un certain nombre de dérives
individuelles, racistes, sexistes ou homophobes. C’est un travail qui a
été documenté par des journalistes, des sociologues et on ne fait que rapporter quelque chose qui existe."
"Je trouve particulièrement dommage que le ministre, au lieu
d’essayer de faire le ménage et de faire la chasse à ces groupuscules
qui entachent l’image de la Police, s’attaque à des syndicalistes qui
dénoncent des faits qui sont avérés et connus."
Atteinte à la liberté syndicale
Le procureur de la République de Brest devra décider de poursuivre
l'enseignant ou de classer la plainte du ministre de l'Intérieur. Mais
quoi qu’il arrive, pour Olivier Cuzon, le mal est fait. Il parle
d’atteinte à la liberté syndicale et de pressions.
"On a tendance à penser que le ministre de l’Intérieur a d’autres
chats à fouetter. C’est déstabilisant de se voir infliger une plainte
par le ministre de l’Intérieur, on se demande ce qu’on a fait de
vraiment très mal pour subir cela."
"On cherche à faire taire une liberté de parole syndicale alors
que c'est un pilier de notre démocratie. On voudrait nous empêcher de
parler de choses qui fâchent. Et au-delà de cette atteinte aux libertés
fondamentales, c’est un petit coup de pression. On utilise la
diffamation comme une arme pour faire taire des syndicalistes, parce que
c’est vrai que la prochaine fois qu’on rédigera un article, on aura
forcément ça en tête, comme une épée de Damoclès, en se disant, mais
attention, là, est ce que je ne vais pas être attaqué".
"On a l’impression qu’il y a une police politique qui cherche à
museler un peu une presse libre. C’est une presse d’opinion la presse
syndicale, mais on ne s’en cache pas, elle a le mérite d’exister et ça
fait partie des grandes libertés constitutionnelles."
"On ne se laissera pas intimider, on ne va pas se laisser faire,
on va se bagarrer parce qu’on tient à ces libertés et ce n’est pas un
ministre qui fait la loi en France, j’ai toute confiance dans la justice
de mon pays et à l’Etat de droit pour que les faits soient rétablis et
que justice soit faite."
De nombreux soutiens
Le syndicaliste a reçu de nombreux soutiens, politiques, associatifs.
La Ligue des Droits de l’homme de Brest Métropole évoque une atteinte à
la liberté de la presse. Pierre Bodenez son président n’hésite pas lui
aussi à parler de "coup de pression" et de "risque d’autocensure."
Un contexte liberticide
Olivier Cuzon ne cache pas une certaine inquiétude. "Il y a une
dérive liberticide dans ce pays, déclare-t-il. Dans la semaine, un
syndicaliste de la CGT du nord de la France a été condamné pour un tract
sur la Palestine, des meetings sont interdits, des libertés
associatives sont remises en cause par des subventions qui sont
supprimées du jour au lendemain parce que le discours de telle ou telle
association ne plaît pas, regrette-t-il. On sent un Etat qui veut
s’immiscer de plus en plus dans la vie associative, dans la vie
syndicale et qui aimerait bien que les associations soient plus le doigt
sur la couture du pantalon."
Mais il l’affirme, cela ne sera pas le cas. "On garde notre liberté, ça fait partie des libertés fondamentales et on se bagarrera pour les faire vivre. "
Gérald
Darmanin porte plainte contre un syndicaliste breton qui avait dénoncé
«la culture misogyne et homophobe» dans la gendarmerie
Le
ministre de l’Intérieur a porté plainte contre le militant Olivier
Cuzon, entendu vendredi en audition libre pour «diffamation et injure
publiques envers la gendarmerie nationale et la police nationale»,
a-t-on appris dimanche 21 avril auprès du syndicaliste.
«Il y a une volonté d’intimidation.» Le syndicaliste bretonOlivier
Cuzon a fait part de sa stupéfaction, lui qui est visé par un dépôt de
plainte pour diffamation émanant du ministre de l’Intérieur. Une action
en justice confirmée par une source proche du dossier à l’AFP ce
dimanche 21 avril.
Olivier Cuzon a été mis en
cause en sa qualité de directeur de publication du journal du syndicat
Sud-Education dans le Finistère, tiré à un millier d’exemplaires et
dupliqué sur le site internet de l’organisation, a-t-il expliqué. «J’ai
été entendu vendredi au commissariat de Brest par la brigade criminelle
[…] Une plainte déposée au nom du ministre de l’Intérieur en personne,
je ne m’y attendais pas.», a déclaré ce professeur de physique-chimie dans un lycée de Brest.
Un article sur les classes défense dans le viseur
Non signé car «rédigé collectivement», l’article contesté, publié en octobre, s’interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale», décidées par le gouvernement après les attentats de 2015. Il en évaluait le nombre à 500, «concernant 12 500 élèves».
L’article relevait la nature de certains «ateliers» menés dans ce cadre, tels que «fouille de cellule pénitentiaire, tir au pistolet laser». Il se demandait s’il ne fallait pas voir dans ces classes «une forme d’endoctrinement, un patriotisme désuet et résolument réactionnaire ?», poursuivant : «Ce questionnement est important quand on connaît la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis.» Il mentionnait différentes affaires évoquées dans la presse sur «l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes».
Cette plainte de Gérald Darmanin
a suscité des réactions de soutien à Olivier Cuzon dans le Finistère de
la part de personnalités politiques, de syndicats et d’associations.
Dans un communiqué, la section locale de la Ligue des droits de l’homme
(LDH) «s’inquiète de l’atteinte au droit à l’expression critique de
mesures gouvernementales et du comportement de certains membres des
forces de l’ordre» et «s’indigne de cette atteinte aux droits fondamentaux d’une presse libre et indépendante».
Selon le ministère des Armées, ces «classes défense» ont «un
triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir
l’esprit de défense et garantir l’attractivité des métiers des armées».
Après l’audition du syndicaliste, il appartiendra au procureur de
classer sans suite ou de poursuivre, a rappelé Olivier Cuzon.
Après la condamnation d'un syndicaliste du Nord et la plainte du ministre de l'Intérieur contre celui de Brest, deux gros pôles de complices du malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, voilà maintenant son procureur qui tombe...
Lot : le procureur de Cahors va être jugé pour violences conjugales
Le procureur de la République de Cahors (Lot) doit comparaître en juin
prochain devant le tribunal correctionnel de Montauban pour violences
conjugales, révèlent samedi France Bleu Périgord et franceinfo.
Alexandre Rossi, le
procureur de la République de Cahors – toujours en poste à ce jour selon
nos informations – est soupçonné de violences conjugales sur son
épouse. C'est elle qui a déposé plainte à plusieurs reprises début
avril. Le couple est en train de se séparer et selon elle, les violences
sont intervenues dans ce contexte de séparation. L'épouse d'Alexandre
Rossi parle de violences psychologiques et, à quelques reprises, de
violences physiques.
Alexandre Rossi a donc été placé en garde à vue lundi et mardi dans
le département du Tarn-et-Garonne. Il n'a pas pu l'être dans son
département, la loi ne le permettant pas. Pendant cette garde à vue, le
procureur a longuement été entendu par les gendarmes, et confronté à son
épouse avant d'être présenté au procureur de la République de Montauban
et placé sous contrôle judiciaire. En attendant d'être jugé en juin
prochain devant le tribunal de Montauban, Alexandre Rossi est soumis à
une obligation de soins et n'a pas le droit de se rendre au domicile de
sa compagne. Selon nos informations, le magistrat a souhaité, à son
tour, déposer plainte contre elle, également pour violences.
Contacté, l'intéressé a refusé de commenter l'affaire. Le procureur
général d'Agen, dont dépend le parquet de Cahors, précise qu'Alexandre
Rossi est en poste mais qu'il n'est pas au travail car il est en congés
depuis lundi dernier. À cette heure, le Conseil supérieur de la
magistrature n'a été saisi par le ministère de la Justice d'aucune
procédure disciplinaire concernant ce procureur mis en cause. Sollicitée
samedi, la Chancellerie dit avoir actionné de manière urgente une phase
d'analyse disciplinaire avant de prendre une décision concernant le
procureur.
Âgé d'une quarantaine d'années, père de famille, Alexandre Rossi est
procureur à Cahors depuis janvier 2022. Il est également l'auteur de
deux livres. Le plus récent, publié à l'automne dernier, évoquait le
fonctionnement de la justice et diverses thématiques, dont les violences
conjugales.
Le procureur de la République du
Lot, Alexandre Rossi, sera jugé au mois de juin prochain pour violences
conjugales, a appris France Bleu Périgord. Sa garde à vue et son
placement sous contrôle judiciaire remontent au début de la semaine. Ce
samedi, il est toujours en poste.
En
début de semaine, Alexandre Rossi, procureur de la République de Cahors
(Lot) a été placé en garde à vue après une plainte de son épouse, avec
laquelle il est en instance de séparation, pour violences conjugales,
ont appris France Bleu Périgord et franceinfo ce samedi. Étant en poste à
Cahors, la procédure a été traitée par le parquet voisin de Montauban,
dans le Tarn-et-Garonne. Entendu par les gendarmes de la brigade de
recherche, il a également été confronté à la plaignante qui a porté plainte à plusieurs reprises au début du mois pour des violences psychologiques et de violences physiques au cours de disputes.
Sous contrôle judiciaire jusqu'à son procès
À
l'issue de sa garde à vue, le procureur d'une quarantaine d'années, en
poste depuis janvier 2022, a été placé sous contrôle judiciaire sans
être mis en examen, mais a reçu une convocation pour être jugé au mois de juin par le tribunal correctionnel de Montauban. Son contrôle judiciaire l'oblige à se soigner et le père de famille a interdiction de se rendre au domicile de sa compagne.
Le magistrat toujours en poste, mais en congés
Alexandre Rossi, que nous avons appelé, a refusé de commenter cette affaire.
Le Procureur Général d'Agen dont dépend le parquet de Cahors indique
qu'Alexandre Rossi est toujours en poste. En revanche, il n'est pas au
travail, en vacances depuis lundi.
Sollicité ce samedi, le ministère de la Justice dit avoir "actionné de manière urgente une phase d'analyse disciplinaire" avant de prendre une décision concernant le procureur Alexandre Rossi.
Le Conseil Supérieur de la Magistrature n'a pas été saisi ce samedi après-midi. Contactée ce samedi après-midi, la chancellerie a engagé "de manière urgence, une phase d'analyse disciplinaire" avant de prendre une décision.
Le procureur a également déposé plainte
Selon nos informations, le procureur de Cahors a également déposé plainte contre son épouse pour des violences.
Accusé de
violences conjugales, le Procureur de la République du Lot placé en
garde à vue
Accusé de violences conjugales par une plainte
déposée début avril 2024, le procureur de la République de Cahors,
Alexandre Rossi, est inquiété par la justice.
Coup de tonnerre dans le département du Lot.Alexandre Rossi, le procureur de la République du Lot, fait l’objet d’un plainte pour violences conjugales depuis début avril selon une information développée par France Info et qu’Actu Lot est en mesure de confirmer.
Alexandre Rossi a été placé en garde à vue lundi 15 et mardi 16 avril 2024 à Montauban
(Tarn-et-Garonne) suite à des plaintes enregistrées au début du mois
d’avril pour violences réciproques par les deux conjoints, lesquels
seraient en instance de séparation.
Un magistrat faisant montre d’exemplarité
Cette
information, à prendre avec la rigueur qu’impose la présomption
d’innocence bénéficiant à tout justiciable, jusqu’à l’heure du jugement,
fait l’effet d’une bombe dans le milieu judiciaire et dans le Lot, en
particulier.
En début d’année, lors de l’audience solennelle de
rentrée, Alexandre Rossi avait mis en avant son souci de lutte contre
les violences intrafamiliales, aussi bien au niveau de la prévention que
de la détection et de la répression.