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mardi 23 avril 2024

De la police des moeurs...

 

 

Aujourd'hui, les femmes ont accès aux mêmes écoles et emplois d'ingénieurs que les hommes. Ce sont des droits qu'elles ont acquis de manière très progressive des années 1920 jusqu'aux années 1970. En parallèle, on a vu apparaître un nouveau genre de "prostituée", c'est la "sale pute de femme ingénieure qui vole la place des hommes dans le travail".

En conséquence de quoi, de nouvelles "chasses à la femme" ont aussi été ouvertes, mettant à peu près tout le monde d'accord, sauf les intéressées.

Interrogez Olivier Cuzon, Arnaud Hell, Josette Brenterch, etc... ils vous répondront tous en choeur que oui, effectivement, les femmes ingénieurs sont des prostituées. Pour commencer, elles n'ont pas l'intelligence pour être ingénieures, tout le monde le sait. Donc, nécessairement, elles couchent pour obtenir des avis contraires, et ce sont donc bien des prostituées, dont la présence dans les entreprises est un véritable scandale, d'où les chasses auxquelles ils se livrent tous, qu'ils se disent de gauche, de droite, du centre ou d'ailleurs.

Dans l'hypothèse où Olivier Cuzon connaîtrait des policiers ou des gendarmes qui tout comme ses très proches amis de l'extrême-gauche brestoise Arnaud Hell et Josette Brenterch soutiendraient que je suis une prostituée parce qu'ils n'ont jamais pu supporter qu'en réalité je sois ingénieure (j'ai bien été confrontée directement à ce type de policiers à Paris dans les années 1990), il ne peut pas les dénoncer comme misogynes, ce sont ses complices.

Ses dénonciations de gendarmes et policiers misogynes, nazis ou autres ne sont que postures : en affirmant tous ces gens misogynes ou autres de manière gratuite, sans en avoir réellement jamais dénoncé aucun pour de tels faits, il s'affirme lui-même non misogyne, non nazi, etc... ce qui est totalement faux.

A l'extrême-gauche, tout est factice, faux, mensonger, trompeur.


lundi 22 avril 2024

Encore un soutien pour Olivier Cuzon...

Je vous rassure tout de suite, ce n'est toujours pas moi.

Cette fois-ci, c'est la FSU 29, et demain, nous aurons sans doute le comité Théodule et la kermesse de son quartier.

Sur la photo du Télégramme, on reconnaît Olivier Cuzon à droite, portant une doudoune jaune, et à gauche, vêtu d'un anorak bleu turquoise, c'est Arnaud Hell, assassin de toute ma famille - Joël Roma, qui a fait partie de leurs larbins de 1999 à 2005, m'a toujours dit que c'était bien celui-là le pire lorsqu'en 2006 il a commencé à me parler de toutes leurs réunions internes à mon sujet, pour briefer tous les militants sur mon compte (prostituée, débile mentale, folle à lier, etc...) et leur indiquer comment se comporter avec moi (très clairement, comment me harceler), à compter de début 2004 lorsque j'avais commencé à participer aux activités de l'association AC ! Brest, où j'en rencontrais quelques-uns.

Arnaud Hell est prof d'économie à la retraite, tout comme Josette Brenterch, et Olivier Cuzon est prof de physique et chimie.

Le premier est aussi connu pour s'être fait virer du lycée de l'Harteloire dans les débuts de sa carrière en raison d'une affaire de moeurs et certains m'ont rapporté avoir eu la honte de leur vie en sortant avec lui en 2005 en raison de son comportement avec les femmes et les jeunes filles dans la rue, comme quoi il ne s'était pas encore calmé...

La seconde est une alcoolique notoire.

Enfin, chose intéressante, avec ce communiqué de la FSU 29, on en arrive aux attentats de janvier 2015 dont ils furent les organisateurs avec le malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

Pour la FSU, « il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression d’un journal syndical, qui par principe a une expression engagée. Après les attentats de 2015, le pays était réuni pour défendre la liberté de la presse sous la bannière "Nous sommes tous Charlie". Manifestement, cet attachement à une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».

Ces attentats avaient pour but de préparer ma condamnation en appel à Rennes dans le cadre de la procédure abusive que m'avait intentée la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à compter du mois d'août 2011. Mon co-accusé et co-condamné de première instance, OverBlog, se défendait publiquement en arguant sur la liberté d'expression, tandis qu'en réponse, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi publiait des articles rageux intitulés "Je hais la liberté d'expression" ou "La liberté d'expression c'est la haine", et subitement, à compter de mai 2014, disparaissait de la toile pour n'y revenir qu'en décembre 2014, ses attentats de janvier 2015 étant fin prêts. Comme tout le monde l'avait tout de suite très bien compris, leur thème était la liberté d'expression, qu'ils entendaient voir restreindre, mais ils avaient obtenu au contraire des manifestations en faveur de la liberté d'expression. On sent bien poindre l'aigreur à ce sujet dans le communiqué de la FSU 29 soutenant aujourd'hui Olivier Cuzon : « Manifestement, cet attachement à une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».


https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/nouveau-soutien-au-syndicaliste-brestois-olivier-cuzon-apres-la-plainte-de-darmanin-6570303.php

Nouveau soutien au syndicaliste brestois Olivier Cuzon après la plainte de Darmanin

Dans un communiqué, la FSU 29 « exprime son soutien indéfectible à Olivier Cuzon et à Solidaires 29 » après la plainte pour diffamation visant le directeur de publication du journal de Sud Éducation.

 

Un comité de soutien réunissant des militants syndicaux (FSU, SUD/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’Homme ou de LFI a apporté leur soutien à Olivier Cuzon, vendredi 19 avril 2024, à sa sortie du commissariat de Brest.
Un comité de soutien réunissant des militants syndicaux (FSU, SUD/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’Homme ou de LFI a apporté leur soutien à Olivier Cuzon, vendredi 19 avril 2024, à sa sortie du commissariat de Brest. (Le Télégramme/Didier Déniel)

 

Nouveau témoignage de soutien à l’adresse d’Olivier Cuzon, visé par une plainte pour « diffamation et injure publiques à l’encontre de la police et de la gendarmerie » de la part du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Entendu par la police pour un de ses écrits dans la lettre interne de Sud Éducation, le secrétaire de Solidaires 29 a été convoqué le vendredi 19 avril 2024 au commissariat de Brest.

 

« Une liberté fondamentale »

Un comité de soutien, réunissant des militants syndicaux (FSU, Sud/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’homme ou de LFI, était à la sortie de l’audition.

Pour la FSU, « il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression d’un journal syndical, qui par principe a une expression engagée. Après les attentats de 2015, le pays était réuni pour défendre la liberté de la presse sous la bannière "Nous sommes tous Charlie". Manifestement, cet attachement à une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».

Il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression

Au-delà, poursuit le syndicat, « cette plainte s’inscrit dans un contexte plus global de tentatives de censure contre des militants qui s’expriment librement pour faire connaître leurs analyses politiques et leurs mandats. Aussi, la FSU 29 exprime son soutien indéfectible à Olivier Cuzon et à Solidaires 29 ».


Affaire Olivier Cuzon: article d'Ouest France sur ses soutiens

C'est le meilleur des soi-disant "démocrates" de la région...

Il n'y a là que des fonctionnaires qui tous rêvent depuis des lustres pour leur pays et tous les autres d'un "tout-Etat" à la mode soviétique qu'ils ont quasiment réalisé à Brest.

Et l'on sait depuis très longtemps ce qu'ils font de la liberté d'expression :

http://satanistique.blogspot.com/2022/02/la-censure-en-toute-illegalite-une.html

Strictement aucun droit pour leurs victimes, donc.

En revanche, pour eux, la liberté d'expression, de harcèlement, de calomnie publique, de menaces de mort et autres, de viols et d'assassinat, est sans aucune limite.


 

https://www.ouest-france.fr/economie/syndicats/une-vague-de-soutien-apres-la-plainte-a-lencontre-du-syndicaliste-brestois-olivier-cuzon-e95b0a7e-0082-11ef-a017-98428192dcc2

Une vague de soutien après la plainte à l’encontre du syndicaliste brestois Olivier Cuzon

Vendredi 19 avril 2024, Olivier Cuzon, enseignant et syndicaliste brestois, était convoqué au commissariat de Brest (Finistère) pour une plainte déposée à son encontre. Un article paru sur le site Sud éducation 29, dont il est le directeur de la publication, serait l’objet de la procédure en cours. Ce week-end, les messages de soutien n’ont pas cessé, notamment des politiques et des associations finistériennes.

 

Olivier Cuzon a été convoqué au commissariat de Brest.
Olivier Cuzon a été convoqué au commissariat de Brest. | ARCHIVES OUEST-FRANCE
 

« L’opportunité de cette démarche de la part de Gérald Darmanin interroge », peut-on lire dans un communiqué de presse du Parti socialiste du Finistère. Des messages de soutien, comme celui-ci, sont arrivés par vague ce week-end après la convocation d’Olivier Cuzon, syndicaliste et enseignant à Brest, au commissariat de la cité du Ponant, vendredi 19 avril 2024.

Une plainte a été déposée pour « diffamation et injure publique à l’encontre de la police et de la gendarmerie », après la publication d’un article sur le site Sud éducation 29, dont il est le directeur de la publication. Il y critique des dérives qui existeraient dans les « classes défense sécurité globale » (CDSG).

La procédure émanerait du ministre de l’intérieur lui-même, Gérald Darmanin. « Combien de temps allons-nous encore devoir supporter ces mesures liberticides qui mettent à mal notre démocratie, menacée partout ailleurs dans le monde ? », s’insurge, de son côté, l’Union démocratique bretonne (UDB) du Pays de Brest.

« Cela devrait révolter tout démocrate »

Des politiques et associations finistériennes s’inquiètent du contexte actuel, qui ne serait pas favorable aux militants. « Les différentes pressions, annulations, menaces à la liberté d’expression politique, syndicale, associative se multiplient dans notre pays et cela devrait révolter tout démocrate », analyse les Écologistes de Brest.

Ils s’insurgent également des menaces qui planent sur la liberté de la presse. « C’est la liberté de la presse qui est aussi en ligne de mire, Olivier Cuzon étant mis en cause en tant que directeur de la publication syndicale », avance la section du Parti communiste français (PCF) du pays de Brest.

Faut-il supprimer l’aide médicale d’État (AME), qui permet aux étrangers en situation irrégulière d’être soignés en France ?

Le procureur de la République de Brest devra trancher entre classer, ou non, cette plainte.

Les partis politiques et associations qui ont apporté leur soutien : la fédération du Finistère du Parti Socialiste, la section UDB-Pays de Brest, la section de Brest métropole de la Ligue des droits de l’homme, les Écologistes de Brest, LFI - Nupes Brest, L’Autre gauche Brest nouvelle citoyenneté (BNC), la section du pays de Brest du PCF, la FSU 29.

 

dimanche 21 avril 2024

Affaire Olivier Cuzon : Le Figaro retient qu'il est soutenu par la LDH

Cependant, la section brestoise de la LDH n'a plus depuis bien longtemps de Ligue des Droits de l'Homme que le nom...

C'est pourquoi Olivier Cuzon, qui par le passé y était violemment opposé comme tous ses camarades de la gauche "radicale", en fait lui-même partie depuis maintenant plusieurs années : ce n'est tout simplement plus la LDH, c'est autre chose.

Son représentant actuel, Pierre Bodenez, est chef de service psychiatrique à l'hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest, ce même hôpital qui n'a jamais respecté aucun droit humain ni aucune des lois accordant spécifiquement des droits aux personnes qui y sont "hospitalisées", s'était fait épingler à ce sujet en 2021 par le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, et au lieu de tenir compte de ses critiques, avait au contraire justifié tous les moyens inhumains employés par son personnel et signifié au public qu'ils seraient maintenus...

Voir ici :

http://satanistique.blogspot.com/2021/07/a-brest-lhopital-psychiatrique-de.html

Voir également à propos de son supérieur hiérarchique Michel Walter, chef du pôle psychiatrie du CHU de Brest, et dont la complicité avec le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour toutes ses exactions à mon encontre est bien établie :

http://satanistique.blogspot.com/2022/03/je-ferais-peur-michel-walter.html

Un ancien directeur de cet hôpital dans les années 1990, Christian Barthes, avait fini par en être expulsé au printemps 2002 après avoir déjà été révoqué de la fonction publique en 1999, puis poursuivi pour de multiples infractions pénales ayant toutes conduit à des condamnations confirmées en appel pour des faits de proxénétisme aggravé, faux et usage de faux, violences diverses, avec armes pour certaines, dénonciations calomnieuses et faux témoignages, usurpations de titres, outrage à agent de police dans l'exercice de ses fonctions, etc... 

S'il fut le seul à être poursuivi et condamné, il n'était pour autant pas le seul coupable de tous ces faits, notamment ceux de proxénétisme aggravé, la direction du CHU de Brest étant également impliquée par fourniture ou mise à disposition de moyens, et ceux de détournement et harcèlement de mineures d'un foyer de l'enfance du Finistère pour lesquels il n'a jamais été poursuivi en dépit de la plainte déposée contre lui par le responsable de ce foyer se plaignant aussi qu'il l'avait menacé de lui faire perdre son emploi en cas de plainte de sa part à propos des détournements de mineures sous sa responsabilité : la preuve en est l'utilisation de cette plainte dans le cadre de seules poursuites pour usurpation de titre du fait qu'il n'était plus directeur hospitalier lors de son dépôt et se prévalait toujours de cette qualité dans le cadre de ses interventions au foyer de l'enfance concerné et auprès de ses mineures pour en faire des prostituées qu'il fournissait en drogues récupérées sur les saisies de la police, sans compter qu'il se prévalait aussi pour ces activités de l'appui du Conseil Général du Finistère...

Son successeur Etienne Morel fut notamment, quant à lui, très impliqué dans l'affaire du chirurgien pédophile Joël Le Scouarnec.

Encore très récemment, ils ont travaillé à verrouiller complètement leur système de fabrication de prostituées :

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/sandrine-rousseau-la-rescousse-des.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/et-hop-michel-walter-en-echo-sandrine.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/gerard-miller-sandrine-rousseau-michel.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/sante-mentale-des-jeunes-filles-apres.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/sandrine-rousseau-et-les-psychiatres.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/pedocriminalite-et-psychiatres-violeurs.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/04/pedocriminalite-sandrine-rousseau-sen.html

Nous avions là et nous avons toujours, très clairement, une bande de criminels, de violeurs, d'assassins. Peu m'importe qu'Olivier Cuzon, Pierre Bodenez ou d'autres n'aient jamais violé ni tué personne, ils sont bien tous complices de tous les crimes commis en bande organisée ou en association de malfaiteurs par certains des leurs. C'est un système mafieux, ils sont tous dedans à se serrer les coudes mutuellement.


https://www.lefigaro.fr/actualite-france/gerald-darmanin-porte-contre-un-syndicaliste-pour-diffamation-20240421

Gérald Darmanin porte plainte contre un syndicaliste pour «diffamation»

 

Olivier Cuzon, directeur de publication du journal du syndicat Sud-Éducation dans le Finistère, a été mis en cause pour un article publié en octobre qui s'interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale».

Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a porté plainte contre un syndicaliste breton qui a été entendu vendredi en audition libre pour «diffamation et injure publiques envers la gendarmerie nationale et la police nationale», a-t-on appris dimanche auprès du militant. Une source proche du dossier a confirmé à l'AFP ce dépôt de plainte pour diffamation émanant du ministre de l'Intérieur.

Le militant, Olivier Cuzon, a été mis en cause en sa qualité de directeur de publication du journal du syndicat Sud-Éducation dans le Finistère, tiré à un millier d'exemplaires et dupliqué sur le site internet de l'organisation, a-t-il expliqué à l'AFP. «J'ai été entendu vendredi au commissariat de Brest par la brigade criminelle (...) Une plainte déposée au nom du ministre de l'Intérieur en personne, je ne m'y attendais pas, il y a une volonté d'intimidation», a déclaré ce professeur de physique-chimie dans un lycée de Brest.

Non signé car «rédigé collectivement», l'article contesté, publié en octobre, s'interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale», décidées par le gouvernement après les attentats de 2015. Il en évaluait le nombre à 500, «concernant 12.500 élèves». L'article relevait la nature de certains «ateliers» menés dans ce cadre, tels que «fouille de cellule pénitentiaire, tir au pistolet laser».

Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis

Extrait de l’article contesté

Il se demandait s'il ne fallait pas voir dans ces classes «une forme d'endoctrinement, un patriotisme désuet et résolument réactionnaire?», poursuivant : «Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis». Il mentionnait différentes affaires évoquées dans la presse sur «l'existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes».

Cette plainte de Gérald Darmanin a suscité des réactions de soutien à Olivier Cuzon dans le Finistère de la part de personnalités politiques, de syndicats et d'associations. Dans un communiqué, la section locale de la Ligue des droits de l'homme (LDH) «s'inquiète de l'atteinte au droit à l'expression critique de mesures gouvernementales et du comportement de certains membres des forces de l'ordre» et «s'indigne de cette atteinte aux droits fondamentaux d'une presse libre et indépendante».

Selon le ministère des Armées, ces «classes défense» ont «un triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir l'esprit de défense et garantir l'attractivité des métiers des armées». Après l'audition du syndicaliste, il appartiendra au procureur de classer sans suite ou de poursuivre, a rappelé Olivier Cuzon.

 

Affaire Olivier Cuzon : déjà un très long plaidoyer journalistique en sa faveur...

Il n'est sorti du commissariat que depuis deux jours à peine, et c'est déjà le délire...

La presse nationale aussi s'y est mise...

Pour commencer, il s'étonne que sa feuille de chou à diffusion restreinte, Sud éducation 29, quand même tirée à un millier d’exemplaires et dupliquée sur le site internet de l’organisation (cf. ci-dessous article de Libération), ait pu faire l'objet d'une plainte du ministre de l'Intérieur.

Et alors ? Vous m'avez bien harcelée de dénonciations calomnieuses et procédures abusives à répétition pour un blog qui au mieux de sa forme n'attirait en moyenne pas plus d'une centaine de lecteurs par jour, dont la presque totalité me venait des blogs où vous me calomniez quotidiennement avec tous les jours de nouvelles inventions toutes plus incroyables les unes que les autres, sans compter les menaces de viol, les menaces de mort, les appels au meurtre et au viol, notamment sur des sites islamistes, avec la révélation publique de mon identité et de toutes mes coordonnées, et la publication très régulière de contenus de mes conversations téléphoniques et autres toutes illégalement écoutées ou piratées, et quantité d'autres informations, vraies ou fausses, relevant toutes à l'évidence de l'intimité de ma vie privée - blog "Un petit coucou" chez OverBlog où je me contentais de publier des droits de réponse afin de rétablir a minima la vérité concernant ma propre biographie, à la suite de vos campagnes de calomnies publiques et nominatives massives, véritablement phénoménales.

Ensuite, Olivier Cuzon arguë sur le texte qui lui est reproché comme injurieux et diffamatoire à l'égard des forces de l'ordre :

"La plainte voudrait laisser penser qu’on s’attaque à l’institution, s'agace-t-il. Ce n’est pas le cas de l’article qui cible un certain nombre de dérives individuelles, racistes, sexistes ou homophobes. C’est un travail qui a été documenté par des journalistes, des sociologues et on ne fait que rapporter quelque chose qui existe."

"Je trouve particulièrement dommage que le ministre, au lieu d’essayer de faire le ménage et de faire la chasse à ces groupuscules qui entachent l’image de la Police, s’attaque à des syndicalistes qui dénoncent des faits qui sont avérés et connus."

MDR !!!

Le problème, connard, c'est que ta feuille de chou n'est destinée qu'à tes collègues du 29. Cela signifie que tu n'as aucune défense sérieuse si tu n'es pas capable de donner des exemples précis illustrant tes propos concernant des dérives individuelles ou de groupe racistes, sexistes, homophobes ou autres dans le 29.

Si par contre tu connais effectivement des individus ou des groupuscules qui entachent l'image de la Police ou celle de la Gendarmerie dans le 29, il va falloir que tu les balances, mais il t'appartenait de les avoir déjà dénoncés pour que les autorités aient pu faire le ménage. Pourquoi ne l'as-tu jamais fait ?


https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/un-syndicaliste-brestois-vise-par-une-plainte-du-ministre-de-l-interieur-on-cherche-a-nous-faire-taire-2958731.html

Un syndicaliste brestois visé par une plainte du ministre de l’Intérieur, "on cherche à nous faire taire"

 

Ce 19 avril 2024, Olivier Cuzon était convoqué pour une audition au commissariat de Police de Brest. Le syndicaliste brestois y a appris qu’une plainte avait été déposée contre lui pour diffamation et injure publique envers la Police et la Gendarmerie et que cette plainte émanait du ministre de l’Intérieur en personne, Gérald Darmanin. En cause, un article dans le journal de Sud éducation du Finistère.

"Le journal de Sud éducation Finistère, c’est un tout petit journal qui est envoyé dans les salles des professeurs des écoles, collèges, lycées du département, ironise Olivier Cuzon. C’est une feuille de chou sans prétention. C’est quand même très étonnant qu’un ministre de l’Intérieur prenne la peine de déposer une plainte contre le directeur de rédaction que je suis pour un journal qui a une audience très modeste et limitée, c’est beaucoup d’honneurs qu’il nous fait."

Des classes défense qui interrogent l’enseignant

Dans cette "feuille de chou", en octobre 2023, l’enseignant brestois s’étonnait de l’apparition des Classes défense sécurité globale. "Après les attentats de 2015, explique l’article, un protocole a été signé entre le Ministère de l’Education nationale et celui de la défense". Des militaires sont donc appelés à venir dans les salles de classe pour enseigner aux élèves les principes et valeurs de la République.

Le professeur persiste et signe : "C’est un article qui questionne la légitimité des policiers et des gendarmes à intervenir devant nos élèves. Je considère qu’en tant qu’enseignant cela fait partie de nos missions".

Lire : "Liberté, égalité, laïcité", quand l'école redonne du sens aux valeurs de la République et à la laïcité

Et il s’étonne, "l’éducation civique, ce n’est pas forcément à des gens en uniforme de s’en occuper et de faire quelque chose qui pourrait être assimilé à une forme d’endoctrinement ou de militarisation. C’est avant tout aux enseignants de travailler avec les élèves sur ces questions qui sont importantes."

Une forme de militarisation de la jeunesse ?

Olivier Cuzon fait le lien avec le Service national universel que le ministère souhaite étendre à l’ensemble d’une classe d’âge. Il y voit une volonté d’une forme de militarisation de la jeunesse. "Ces 15 jours où les élèves font le lever du drapeau, apprennent à tirer, pourraient être pris sur du temps scolaire. Nous, on pense que ces 15 jours à l’école sont au moins aussi importants que 15 jours pour aller faire un petit service militaire dans les casernes."

Il rappelle que dans tous les cours, les enseignants abordent les notions d’instruction civique, d’éducation à la citoyenneté, de valeurs de la République. "On n’a pas besoin de policiers ou de militaires dans les écoles pour ça. On remet en cause leur légitimité, ils ne sont pas formés pour cela. Ils sont formés pour d’autres missions, qui sont toutes aussi importantes, mais pas pour des missions d’éducation auprès des élèves."

Entendu pendant une heure par les policiers

Une remise en cause qui n’aurait donc pas été du tout au goût du ministre de l’Intérieur, mais c’est surtout le paragraphe sur des dérives des membres des forces de l’ordre qui l’aurait fait sortir de ses gonds. Il y est écrit : " Ce questionnement est important quand on connaît la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis. Les enquêtes de Médiapart révélant l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes, ou la participation récente de militaires en civil à la répression des dernières émeutes de banlieues ne plaident pas en faveur du républicanisme des militaires."

Sollicité, le cabinet du ministre explique que "l' auteur de cet article accuse des militaires de la gendarmerie nationale d'appartenir à des "groupuscules nazis", de participer, ainsi que des policiers, à des "groupes de discussions racistes " et leur attribue une culture"misogyne" et "homophobe". De telles allégations ou imputations sont de nature à porter atteinte à l'honneur ou à la considération de l'ensemble des militaires de la gendarmerie nationale et des fonctionnaires de la police nationale", et justifie la plainte, "ces propos rendus publics caractérisent le délit de diffamation publique à l'encontre des administrations publiques de la gendarmerie nationale et de la police nationale, délit prévu et réprimé par le premier alinéa de l'article 29 et l'article 30 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse."

Lire : Violences urbaines à Lorient. Gérald Darmanin reconnait que des militaires "ont prêté main-forte" aux forces de l'ordre

Olivier Cuzon a été entendu pendant plus d’une heure par les policiers. "La plainte voudrait laisser penser qu’on s’attaque à l’institution, s'agace-t-il. Ce n’est pas le cas de l’article qui cible un certain nombre de dérives individuelles, racistes, sexistes ou homophobes. C’est un travail qui a été documenté par des journalistes, des sociologues et on ne fait que rapporter quelque chose qui existe."

Lire : Rennes : commission de discipline pour des policiers ayant tenu des propos racistes, homophobes et sexistes

"Je trouve particulièrement dommage que le ministre, au lieu d’essayer de faire le ménage et de faire la chasse à ces groupuscules qui entachent l’image de la Police, s’attaque à des syndicalistes qui dénoncent des faits qui sont avérés et connus."

Atteinte à la liberté syndicale

Le procureur de la République de Brest devra décider de poursuivre l'enseignant ou de classer la plainte du ministre de l'Intérieur. Mais quoi qu’il arrive, pour Olivier Cuzon, le mal est fait. Il parle d’atteinte à la liberté syndicale et de pressions.

"On a tendance à penser que le ministre de l’Intérieur a d’autres chats à fouetter. C’est déstabilisant de se voir infliger une plainte par le ministre de l’Intérieur, on se demande ce qu’on a fait de vraiment très mal pour subir cela."

 

 

"On cherche à faire taire une liberté de parole syndicale alors que c'est un pilier de notre démocratie. On voudrait nous empêcher de parler de choses qui fâchent. Et au-delà de cette atteinte aux libertés fondamentales, c’est un petit coup de pression. On utilise la diffamation comme une arme pour faire taire des syndicalistes, parce que c’est vrai que la prochaine fois qu’on rédigera un article, on aura forcément ça en tête, comme une épée de Damoclès, en se disant, mais attention, là, est ce que je ne vais pas être attaqué".

"On a l’impression qu’il y a une police politique qui cherche à museler un peu une presse libre. C’est une presse d’opinion la presse syndicale, mais on ne s’en cache pas, elle a le mérite d’exister et ça fait partie des grandes libertés constitutionnelles."

"On ne se laissera pas intimider, on ne va pas se laisser faire, on va se bagarrer parce qu’on tient à ces libertés et ce n’est pas un ministre qui fait la loi en France, j’ai toute confiance dans la justice de mon pays et à l’Etat de droit pour que les faits soient rétablis et que justice soit faite."  

De nombreux soutiens

Le syndicaliste a reçu de nombreux soutiens, politiques, associatifs. La Ligue des Droits de l’homme de Brest Métropole évoque une atteinte à la liberté de la presse. Pierre Bodenez son président n’hésite pas lui aussi à parler de "coup de pression" et de "risque d’autocensure."

Un contexte liberticide

Olivier Cuzon ne cache pas une certaine inquiétude. "Il y a une dérive liberticide dans ce pays, déclare-t-il. Dans la semaine, un syndicaliste de la CGT du nord de la France a été condamné pour un tract sur la Palestine, des meetings sont interdits, des libertés associatives sont remises en cause par des subventions qui sont supprimées du jour au lendemain parce que le discours de telle ou telle association ne plaît pas, regrette-t-il. On sent un Etat qui veut s’immiscer de plus en plus dans la vie associative, dans la vie syndicale et qui aimerait bien que les associations soient plus le doigt sur la couture du pantalon."

Mais il l’affirme, cela ne sera pas le cas. "On garde notre liberté, ça fait partie des libertés fondamentales et on se bagarrera pour les faire vivre. "

(avec Florence Malésieux)


https://www.liberation.fr/societe/police-justice/gerald-darmanin-porte-plainte-contre-un-syndicaliste-breton-pour-diffamation-20240421_MATQCCWOE5AMFFKA3DDURMFK64/

Gérald Darmanin porte plainte contre un syndicaliste breton qui avait dénoncé «la culture misogyne et homophobe» dans la gendarmerie

 

Le ministre de l’Intérieur a porté plainte contre le militant Olivier Cuzon, entendu vendredi en audition libre pour «diffamation et injure publiques envers la gendarmerie nationale et la police nationale», a-t-on appris dimanche 21 avril auprès du syndicaliste.

par LIBERATION et AFP

publié aujourd'hui à 15h38

«Il y a une volonté d’intimidation.» Le syndicaliste breton Olivier Cuzon a fait part de sa stupéfaction, lui qui est visé par un dépôt de plainte pour diffamation émanant du ministre de l’Intérieur. Une action en justice confirmée par une source proche du dossier à l’AFP ce dimanche 21 avril.

Olivier Cuzon a été mis en cause en sa qualité de directeur de publication du journal du syndicat Sud-Education dans le Finistère, tiré à un millier d’exemplaires et dupliqué sur le site internet de l’organisation, a-t-il expliqué. «J’ai été entendu vendredi au commissariat de Brest par la brigade criminelle […] Une plainte déposée au nom du ministre de l’Intérieur en personne, je ne m’y attendais pas.», a déclaré ce professeur de physique-chimie dans un lycée de Brest.

Un article sur les classes défense dans le viseur

Non signé car «rédigé collectivement», l’article contesté, publié en octobre, s’interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale», décidées par le gouvernement après les attentats de 2015. Il en évaluait le nombre à 500, «concernant 12 500 élèves».

L’article relevait la nature de certains «ateliers» menés dans ce cadre, tels que «fouille de cellule pénitentiaire, tir au pistolet laser». Il se demandait s’il ne fallait pas voir dans ces classes «une forme d’endoctrinement, un patriotisme désuet et résolument réactionnaire ?», poursuivant : «Ce questionnement est important quand on connaît la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis.» Il mentionnait différentes affaires évoquées dans la presse sur «l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes».

Cette plainte de Gérald Darmanin a suscité des réactions de soutien à Olivier Cuzon dans le Finistère de la part de personnalités politiques, de syndicats et d’associations. Dans un communiqué, la section locale de la Ligue des droits de l’homme (LDH) «s’inquiète de l’atteinte au droit à l’expression critique de mesures gouvernementales et du comportement de certains membres des forces de l’ordre» et «s’indigne de cette atteinte aux droits fondamentaux d’une presse libre et indépendante».

Selon le ministère des Armées, ces «classes défense» ont «un triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir l’esprit de défense et garantir l’attractivité des métiers des armées». Après l’audition du syndicaliste, il appartiendra au procureur de classer sans suite ou de poursuivre, a rappelé Olivier Cuzon.


Le procureur de la République de Cahors poursuivi pour violences conjugales...

Après la condamnation d'un syndicaliste du Nord et la plainte du ministre de l'Intérieur contre celui de Brest, deux gros pôles de complices du malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, voilà maintenant son procureur qui tombe...


https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/info-franceinfo-lot-le-procureur-de-cahors-va-etre-juge-pour-violences-conjugales_6498170.html

Lot : le procureur de Cahors va être jugé pour violences conjugales

 
Le procureur de la République de Cahors (Lot) doit comparaître en juin prochain devant le tribunal correctionnel de Montauban pour violences conjugales, révèlent samedi France Bleu Périgord et franceinfo. 
 
Article rédigé par Mathilde Lemaire - avec France Bleu Périgord
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1 min 
 
Le tribunal de Cahors (Lot), avril 2020 (GARO / PHANIE)

 

Alexandre Rossi, le procureur de la République de Cahors – toujours en poste à ce jour selon nos informations – est soupçonné de violences conjugales sur son épouse. C'est elle qui a déposé plainte à plusieurs reprises début avril. Le couple est en train de se séparer et selon elle, les violences sont intervenues dans ce contexte de séparation. L'épouse d'Alexandre Rossi parle de violences psychologiques et, à quelques reprises, de violences physiques.

Alexandre Rossi a donc été placé en garde à vue lundi et mardi dans le département du Tarn-et-Garonne. Il n'a pas pu l'être dans son département, la loi ne le permettant pas. Pendant cette garde à vue, le procureur a longuement été entendu par les gendarmes, et confronté à son épouse avant d'être présenté au procureur de la République de Montauban et placé sous contrôle judiciaire. En attendant d'être jugé en juin prochain devant le tribunal de Montauban, Alexandre Rossi est soumis à une obligation de soins et n'a pas le droit de se rendre au domicile de sa compagne. Selon nos informations, le magistrat a souhaité, à son tour, déposer plainte contre elle, également pour violences.

Contacté, l'intéressé a refusé de commenter l'affaire. Le procureur général d'Agen, dont dépend le parquet de Cahors, précise qu'Alexandre Rossi est en poste mais qu'il n'est pas au travail car il est en congés depuis lundi dernier. À cette heure, le Conseil supérieur de la magistrature n'a été saisi par le ministère de la Justice d'aucune procédure disciplinaire concernant ce procureur mis en cause. Sollicitée samedi, la Chancellerie dit avoir actionné de manière urgente une phase d'analyse disciplinaire avant de prendre une décision concernant le procureur.

Âgé d'une quarantaine d'années, père de famille, Alexandre Rossi est procureur à Cahors depuis janvier 2022. Il est également l'auteur de deux livres. Le plus récent, publié à l'automne dernier, évoquait le fonctionnement de la justice et diverses thématiques, dont les violences conjugales.

 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-procureur-de-la-republique-de-cahors-bientot-juge-pour-avoir-frappe-sa-compagne-2929882

INFO FRANCE BLEU - Le procureur de la République de Cahors bientôt jugé pour violences conjugales

 
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Le procureur de la République du Lot, Alexandre Rossi, sera jugé au mois de juin prochain pour violences conjugales, a appris France Bleu Périgord. Sa garde à vue et son placement sous contrôle judiciaire remontent au début de la semaine. Ce samedi, il est toujours en poste.

 

 Le procureur est en poste depuis janvier 2022.

Le procureur est en poste depuis janvier 2022. © Maxppp - MARC SALVET

En début de semaine, Alexandre Rossi, procureur de la République de Cahors (Lot) a été placé en garde à vue après une plainte de son épouse, avec laquelle il est en instance de séparation, pour violences conjugales, ont appris France Bleu Périgord et franceinfo ce samedi. Étant en poste à Cahors, la procédure a été traitée par le parquet voisin de Montauban, dans le Tarn-et-Garonne. Entendu par les gendarmes de la brigade de recherche, il a également été confronté à la plaignante qui a porté plainte à plusieurs reprises au début du mois pour des violences psychologiques et de violences physiques au cours de disputes.

Sous contrôle judiciaire jusqu'à son procès

À l'issue de sa garde à vue, le procureur d'une quarantaine d'années, en poste depuis janvier 2022, a été placé sous contrôle judiciaire sans être mis en examen, mais a reçu une convocation pour être jugé au mois de juin par le tribunal correctionnel de Montauban. Son contrôle judiciaire l'oblige à se soigner et le père de famille a interdiction de se rendre au domicile de sa compagne.

Le magistrat toujours en poste, mais en congés

Alexandre Rossi, que nous avons appelé, a refusé de commenter cette affaire. Le Procureur Général d'Agen dont dépend le parquet de Cahors indique qu'Alexandre Rossi est toujours en poste. En revanche, il n'est pas au travail, en vacances depuis lundi.

Sollicité ce samedi, le ministère de la Justice dit avoir "actionné de manière urgente une phase d'analyse disciplinaire" avant de prendre une décision concernant le procureur Alexandre Rossi.

Le Conseil Supérieur de la Magistrature n'a pas été saisi ce samedi après-midi. Contactée ce samedi après-midi, la chancellerie a engagé "de manière urgence, une phase d'analyse disciplinaire" avant de prendre une décision.

Le procureur a également déposé plainte

Selon nos informations, le procureur de Cahors a également déposé plainte contre son épouse pour des violences.

 
 

Accusé de violences conjugales, le Procureur de la République du Lot placé en garde à vue

Accusé de violences conjugales par une plainte déposée début avril 2024, le procureur de la République de Cahors, Alexandre Rossi, est inquiété par la justice.

 

Alexandre Rossi, Procureur de la République du Lot
Alexandre Rossi, procureur de la République du Lot est visé par une plainte pour violence conjugales. ©Jean-Claude Bonnemère.
Voir mon actu

Coup de tonnerre dans le département du Lot. Alexandre Rossi, le procureur de la République du Lot, fait l’objet d’un plainte pour violences conjugales depuis début avril selon une information développée par France Info et qu’Actu Lot est en mesure de confirmer. 

Alexandre Rossi a été placé en garde à vue lundi 15 et mardi 16 avril 2024 à Montauban (Tarn-et-Garonne) suite à des plaintes enregistrées au début du mois d’avril pour violences réciproques par les deux conjoints, lesquels seraient en instance de séparation. 

Un magistrat faisant montre d’exemplarité

Cette information, à prendre avec la rigueur qu’impose la présomption d’innocence bénéficiant à tout justiciable, jusqu’à l’heure du jugement, fait l’effet d’une bombe dans le milieu judiciaire et dans le Lot, en particulier.

En début d’année, lors de l’audience solennelle de rentrée, Alexandre Rossi avait mis en avant son souci de lutte contre les violences intrafamiliales, aussi bien au niveau de la prévention que de la détection et de la répression.

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Placé sous contrôle judiciaire, il comparaîtra devant le tribunal de Montauban en juin prochain.

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Des soutiens brestois du syndicaliste Olivier Cuzon...

S'ajoute aujourd'hui à LFI toute une ribambelle de "démocrates" à la sauce brestoise... 

La "démocratie" pour eux tous, c'est assassiner des ingénieurs pour les faire taire.

Pourquoi spécialement des ingénieurs ?

Parce qu'ils sont plus aptes que la moyenne à émettre des critiques pertinentes sur toutes leurs magouilles et sales affaires de moeurs.